Rolex Oyster Perpetual Day-Date in yellow gold, Sequoia dial, reference 1803.
This is the famous Day-Date known as the "wood" dial. While this finish is now well-known at Rolex, it's worth remembering that, in the vast majority of cases, it's an imitation of wood. However, in the 1970s, Rolex truly dared to go much further by producing genuine wooden dials.
Specifically, Rolex cut a thin strip of Sequoia wood, applied it directly to a metal plate, onto which the Rolex inscriptions, hour markers, and luminous dots were then applied. A real technical challenge for the time, as this strip had to adhere perfectly, withstand the test of time, and not crack or peel off.
In hindsight, we understand just how complex this process was. Today, collectors agree that only about twenty truly presentable examples remain, with legible inscriptions, a dial that isn't completely cracked, and a structure that has retained its integrity.
And here is precisely one of these rare surviving examples.
It's an absolutely original, almost audacious watch, typical of the boldness Rolex displayed in the 1970s, and one that would be unthinkable to find today. It's one of the major Day-Dates in the model's history, in a family already considered one of the most important in the Rolex collection.
And here, there's simply a photo. That's it.
You'll be just about the only ones who can say: "I have a wooden Rolex."
Rolex Oyster Perpetual Day-Date en or jaune, cadran Sequoia, référence 1803.
Voici la fameuse Day-Date dite « bois ». Si cette finition est aujourd’hui bien connue chez Rolex, il faut rappeler que, dans l’immense majorité des cas, il s’agit d’imitations de bois. Or, dans les années 1970, Rolex a réellement osé aller beaucoup plus loin en produisant de véritables cadrans en bois.
Concrètement, Rolex a découpé une fine lamelle de Sequoia, appliquée directement sur une plaque de métal, sur laquelle ont ensuite été apposées les inscriptions Rolex, les indexes et les points lumineux. Un véritable défi technique pour l’époque, car il fallait que cette lamelle adhère parfaitement, résiste dans le temps, ne se fissure pas et ne se décolle pas.
Avec le recul, on comprend à quel point l’exercice était complexe. Aujourd’hui, les collectionneurs s’accordent pour dire qu’il ne subsiste qu’une vingtaine d’exemplaires réellement présentables, avec des écritures encore lisibles, un cadran non totalement fissuré et une structure restée cohérente.
Et voici précisément l’un de ces rares exemplaires survivants.
C’est une montre absolument originale, presque folle, typique de l’audace dont Rolex savait faire preuve dans les années 1970, et qu’il serait impensable de retrouver aujourd’hui. Elle fait partie des Day-Date majeures de l’histoire du modèle, dans une famille déjà considérée comme l’une des plus importantes de la collection Rolex.
Et là, il y a tout simplement une photo. Voilà.
Vous serez à peu près les seuls à pouvoir dire : « moi, j’ai une Rolex en bois ».