So, there are 1518s… and then there’s this one. And quite honestly, this 1518 is probably one of the most beautiful I’ve ever seen.
First of all, this is a very early series, a Patek Philippe & Co. from 1946, so before the signature became simply Patek Philippe. It’s truly from the very beginning of production, the most sought-after series today, with cases slightly different from those that would come later. That alone is exceptional.
But what makes this watch completely unique is its condition. In my opinion, it has never been touched. The case has never been polished, the hallmarks are incredibly strong, crisp, and deep. And above all, the dial. The dial has never been cleaned. Originally, these dials were made with indelible ink, and very often, during servicing, Patek Philippe would clean the dial, which could alter or diminish the ink, making certain signs of age disappear. Here, none of that has been done. The dial isn't perfectly uniform, but it is entirely original, intact, and authentic.
And today, in a market that has become ultra-specialized, with extremely demanding collectors, this is precisely what is most sought after: a watch that has never been restored, never retouched, never "improved."
When you look at auction results, a yellow gold 1518 typically fetches between €600,000 and €1.5 million, depending on its condition and quality. And this one clearly sits at the very top of the pyramid.
The 1518 is probably the most iconic watch from Patek Philippe. It was the first perpetual calendar chronograph produced in series. We've seen two steel examples exceed 15 million, and the rose gold versions reach 4 or 5 million. Today, if there's only one watch to buy in the world of collecting, it's a 1518. And if you buy one, you buy the most beautiful. And this one is clearly among the most beautiful yellow gold 1518s in existence.
Alors, il y a des 1518… et il y a celle-ci. Et très honnêtement, ce 1518 fait probablement partie des plus beaux jamais vus.
Déjà, on est sur une toute première série, une Patek Philippe & Co de 1946, donc avant que la signature devienne simplement Patek Philippe. C’est vraiment le tout début de la production, les séries les plus recherchées aujourd’hui, avec des boîtiers légèrement différents de ceux qui viendront plus tard. Rien que ça, c’est déjà exceptionnel.
Mais ce qui rend cette montre complètement à part, c’est son état. Elle n’a, à mon sens, jamais été touchée. Le boîtier n’a jamais été poli, les poinçons sont incroyablement forts, nets, profonds. Et surtout, le cadran. Le cadran n’a jamais été nettoyé. À l’origine, ces cadrans étaient réalisés avec une encre indélébile, et très souvent, lors des services, Patek nettoyait le cadran, ce qui pouvait altérer ou atténuer cette encre pour faire disparaître certaines marques du temps. Ici, rien de tout ça n’a été fait. Le cadran n’est pas parfaitement uniforme, mais il est totalement d’origine, intact, authentique.
Et aujourd’hui, dans un marché devenu ultra pointu, avec des collectionneurs extrêmement exigeants, c’est exactement ce qui est le plus recherché : une montre jamais restaurée, jamais retouchée, jamais “améliorée”.
Quand on regarde les résultats de ventes aux enchères, une 1518 en or jaune se situe entre 600 000 et 1,5 million selon l’état et la qualité. Et celle-ci se place clairement tout en haut de la pyramide.
La 1518, c’est probablement la montre la plus iconique de chez Patek Philippe. C’est le premier chronographe à quantième perpétuel produit en série. On a vu deux exemplaires en acier dépasser les 15 millions, et les versions en or rose atteindre 4 ou 5 millions. Aujourd’hui, s’il n’y a qu’une montre à acheter dans le monde de la collection, c’est une 1518. Et si on en achète une, on prend la plus belle. Et celle-ci fait clairement partie des plus belles 1518 en or jaune qui existent.